Les deux faces d’une même pièce
Il arrive souvent dans les médias, qu’on retrace la vie d’un personnage célèbre plus ou moins contemporain par le témoignage des membres de sa famille, parfois ses descendants lointains ou grâce aux récits de l’époque afin de mieux le connaitre pour mieux l’apprécier. Généralement les descendants d’une personne illustre et honorée pour ses talents ou son œuvre expriment bien sûr leur fierté mais cela ne fait pas forcément d’eux des personnes qui partagent le même talent. Ils sont juste fiers de leur illustre ancêtre. C’est exactement la même chose lorsque l’Occident invoque ses racines chrétiennes. En effet pour la grande majorité de nos contemporains ce sont de lointaines traditions religieuses qui pointillent leur vie au gré des baptêmes, mariages ou enterrements, rassurés qu’ils sont par des repères apparemment immuables comme l’église au milieu du village (dont le nom est parfois celui d’un saint oublié ou inconnu) ou les grandes fêtes qui pour beaucoup ne sont plus qu’un repère des vacances scolaires ou encore les nombreux édifices vestiges de notre histoire et désormais hauts lieux d’un tourisme international qui crédite la balance commerciale d’une économie bien malade. Les racines chrétiennes sont comme ce parent d’un siècle passé qui a développé une entreprise prospère à partir d’une invention mais que ses descendants n’ont pas su garder dans la famille ou pire, ont conduit à la faillite. Les racines chrétiennes de la France sont depuis des siècles des racines hégémoniquement catholiques, une religion idolâtre tellement infiltrée de traditions païennes et gangrénée par la cupidité et les courants de pensées de chaque siècle qu’elle a dévoyé la Parole de Dieu au profit de la Tradition au point qu’elle est même enseignée comme étant prioritaire sur la Parole même de Dieu (voir la page sur le Catholicisme).
Dieu ne regarde pas le passé de nos racines chrétiennes pour juger nos nations au XXIe siècle comme si un père regardait avec la même bienveillance son enfant criminel d’aujourd’hui avec qui il était dans son berceau. Ce ne sont plus les valeurs chrétiennes qui inspirent la nation mais les valeurs humanistes enrichies par toutes les idéologies qui rejettent Dieu mais veulent quand même conserver les bénéfices de tout ce qui ne heurtent pas les consciences. La gauche s’enfonce toujours plus dans la rébellion aux valeurs de Dieu en militant pour une égalité sociale, une solidarité humanitaire sans limite, le droit à des mœurs toujours plus débridés (voir la page sur L’impureté) ou à la liberté de doctrines sataniques toujours plus débiles autant qu’avilissantes comme le wokisme, le véganisme, l’écologisme et même le féminisme et toutes leurs théories sectaires qui fragmentent désormais ce qui ne l’était pas dans les siècles passés avec pour seul but la destruction de la famille créée par Dieu. Si dire que le féminisme contribue à la destruction de la famille vous choque c’est justement parce que vous êtes séduits par les esprits méchants qui vous amènent à vous rebeller à l’ordre établi par Dieu pour que chacun soit à sa place dans le couple : l’état de nos sociétés en dit long sur le degré de délitement des familles qui conduit à tant de drames à tous les niveaux de nos interactions avec notamment la destruction de l’autorité du père. La France a des racines chrétiennes mais est désormais spirituellement morte !
Comme leur nom l’indique, le socialisme et le communisme sont des philosophies qui cherchent à installer une société qui pratiquerait la compassion, vertu d’essence biblique, par l’instauration de lois à la fois très tolérantes sur le plan des mœurs et de la morale comme très démagogiques quant au partage des richesses en vertu d’un égalitarisme idéologique. Ces philosophies dévoient ainsi les arguments de la fraternité biblique en rejetant tout ce qui a trait à l’obéissance à Dieu et au devoir de chacun. Elles affichent cette bonne conscience qui laisse croire qu’elles s’intéressent aux difficultés des plus faibles alors qu’elles séduisent le plus grand nombre pour arriver au pouvoir car tout ce qui n’est pas fait par amour l’est par intérêt ! Il suffit de regarder tous les pays totalitaires prétendument de gauche où les élites font se qu’ils veulent et sont très riches alors que la majorité reste maintenue en silence et esclave du système.
Mais l'Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s'attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons, par l'hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience, prescrivant de ne pas se marier et de s'abstenir d'aliments que Dieu a créés pour qu'ils soient pris avec actions de grâces par ceux qui sont fidèles et qui ont connu la vérité. (1 Timothée 4/1-3)
La droite, quant à elle, n’en est pas moins rebelle avec ses valeurs d’économie libérale où le rendement de l’argent rend l’humanité esclave de son pouvoir au profit d’une poignée d’hommes qui s’imaginent que c’est par leur travail, leurs compétences ou leurs talents qu’ils se sont enrichis (lire la page sur Le matérialisme). Pour beaucoup, l’argent est le dieu qui semble leur procurer la sécurité du présent sans avoir conscience que c’est Dieu qui leur a permis de s’enrichir, les mettant à l’épreuve dans l’utilisation qu’ils font de la richesse : être un canal pour d’autres ou succomber à leurs convoitises. Le libéralisme est la variante sociale de la sélection naturelle des darwiniens par laquelle tout est permis pour s’approprier les richesses matérielles par la spéculation et la spoliation selon ces mêmes lois de la jungle qui ,chez l’homme, nourrissent la cupidité, l’orgueil de la vie et l’arrogance d’un succès sans valeur éternelle.
Le riche et le pauvre se rencontrent : c'est l'Éternel qui les a faits l'un et l'autre. (Proverbes 22/2)
Recommande aux riches du présent siècle de ne pas être orgueilleux et de ne pas mettre leur espérance dans des richesses incertaines mais de la mettre en Dieu qui nous donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissions. Recommande-leur de faire du bien, d'être riches en bonnes œuvres, d'avoir de la libéralité, de la générosité et de s'amasser ainsi pour l'avenir un trésor placé sur un fondement solide afin de saisir la vie véritable. (1 Timothée 6/17-19)
La politique s’est éloignée de son rôle qui consistait à porter des projets de société à tous les niveaux des communautés territoriales, projets approuvés par ladite communauté après débats que désormais le peuple se voit refuser au profit d’une gestion purement comptable et technocratique qui font des populations, non plus des citoyens mais des administrés auxquels les élites aux cerveaux bien lavées par l’idéologie satanique mais sans intelligence ne demandent plus leur avis. Après les racines chrétiennes, n’ayez pas l’hypocrisie de nous faire croire qu’on est encore en démocratie parce qu’on vote tous les cinq ou six ans de prétendus représentants issus des mêmes milieux sociaux favorisés qui s’empressent de mettre en œuvre les programmes technocratiques des conseillers en tout genre pour qui on ne vote pas et qui restent en place quel que soit le résultat des élections, des personnes placées et au service des autorités et des dominations mondiales. La volonté des peuples est de plus en plus diluée par les emboîtements des compétences et les niveaux de décision de plus en plus éloignés des réalités du terrain avec comme point d’orgue le système européen où le Parlement, seule expression du peuple tous les cinq ans, n’est qu’un faire-valoir des élites. Le politique et son alter ego le journaliste du XXIe siècle ne sont plus motivés par les intérêts du pays et le bien-être des populations silencieuses et résignées mais par leur carrière qui suit le court-termisme de l’opinion du moment et fabriquée par les courants idéologiques en vogue, si souvent très éloignés des préoccupations de cette majorité qu’ils manipulent.
Si tu vois dans une province le pauvre opprimé et la violation du droit et de la justice, ne t'en étonne point car un homme élevé est placé sous la surveillance d'un autre plus élevé et au-dessus d'eux il en est de plus élevés encore. (Ecclésiaste 5/7)
Je sais une fois encore que vous refuserez d’entendre que toutes les idées contraires à la Parole de Dieu viennent du monde des ténèbres pour infuser ses pensées toutes plus séduisantes les unes que les autres, tellement acceptables et qui aveuglent l’intelligence de ceux qui les suivent afin qu’ils ne voient pas ce que Dieu qualifie de folie alors qu’ils s’imaginent promouvoir un progrès civilisationnel.
Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. (Ecclésiaste 1/9)
Ce n'est pas à l'intelligence que l'insensé prend plaisir, C'est à la manifestation de ses pensées. (Proverbes 18/2)
La folie de certains courants de pensées est telle qu’ils en sont arrivés à appeler bien ce qui est mal aux yeux de Dieu et mal ce qui est bien, la Bible révélant même que ces valeurs inversées de la conscience sont, avec l’éradication de la foi (la foi n’a rien à voir avec les croyances religieuses), un des signes de la décadence de la condition humaine dont l’issue est l’apparition de l’Antéchrist qui persécutera les disciples de Christ avant leur enlèvement et le retour de Jésus.
Or, tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus Christ seront persécutés. Mais les homme méchants et imposteurs avanceront toujours plus dans le mal, égarant les autres et égarés eux-mêmes. (2 Timothée 3/12-13)
C’est ainsi que selon les standards d’une grande majorité de la gauche il est clair que Dieu lui-même serait classé de nos jours à l’extrême droite de l’échiquier politique. En effet, il serait qualifié d’homophobe puisqu’il déclare l’homosexualité comme une abomination, il serait islamophobe étant d’ailleurs contre toutes les formes de religions, il serait un père condamné de maltraitance puisqu’il encourage la correction de l’enfant comme celle de l’insensé, cette folie qui caractérise tant d’homme qui racontent n’importe quoi.
N'épargne pas la correction à l'enfant ; si tu le frappes de la verge il ne mourra point. En le frappant de la verge tu délivres son âme du séjour des morts. (Proverbes 23/13-14)
Le fouet est pour le cheval, le mors pour l'âne et la verge pour le dos des insensés. (Proverbes 26/3)
Car le Seigneur châtie celui qu'il aime et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils. Supportez le châtiment, c'est comme des fils que Dieu vous traite car quel est le fils qu'un père ne châtie pas ? Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes et non des fils. D'ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits pour avoir la vie ? (Hébreux 12/6-9)
Nos nations occidentales sont malades parce qu’elles ont abandonné leurs racines chrétiennes et se sont détournées de la voix de Dieu au profit de toutes ces philosophies et idéologies humaines qui sont les dieux de notre siècle au même titre que les dieux des nations païennes furent maintes fois l’occasion pour l’Israël de l’Ancienne Alliance de se détourner de la Parole de Dieu. A chaque fois cela s’est traduit par l’exil et la captivité sous la domination de leurs ennemis pendant de très nombreuses années. Dieu ne peut pas protéger nos nations contre notre gré et il a depuis longtemps retiré la bénédiction qui nous plaçait au-dessus des autres nations dans de nombreux domaines. Désormais, nous sommes condamnés à l’exil dans notre propre pays, envahis par tout ce que nous devions combattre en tant que chrétiens. Nous n'avons pas su protéger le joyau que représentaient les valeurs chrétiennes. Bien sûr, rien n’est irréversible mais en l’état actuel du niveau d’autosuffisance de nos dirigeants aussi arrogants qu’orgueilleux, je vois mal notre nation revenir à ces valeurs sans l’intervention de Dieu en faveur de ce pays si éloigné de lui !
Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur et la douceur en amertume ! Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux et qui se croient intelligents ! (Ésaïe 5/20-21)
Toute nation, tout royaume, toute collectivité devraient avoir une vision, un projet qui permette aux individus qui la composent de subvenir normalement à leurs besoins primaires et de s’épanouir librement sans attenter au respect des autres grâce à des lois justes dont le seul but est d’atteindre et de maintenir cet équilibre social pour pérenniser ladite collectivité. Dieu nous a toujours présenté sa demeure comme un royaume où chaque homme est invité à rentrer uniquement s’il accepte ses conditions : n’en est-il pas de même pour habiter chez vous ? Accepteriez-vous quelqu’un qui ne respecte pas vos conditions ? Dieu est parfait et son royaume est éternel, ce n’est pas à lui de changer ou de s’adapter à vous !
Aucun régime politique terrestre n’est semblable au Royaume de Dieu, même pas nos démocraties que nous prenons comme modèle et dont nous sommes si fiers. Mais ne vous y trompez pas, il est encore moins un de ces régimes théocratiques tant ils sont au moins aussi totalitaires que les dictatures et autres régimes hégémoniques parce que la théocratie n’est rien de plus que l’expression d’une tradition religieuse déconnectée de la volonté de Dieu exprimée dans sa Parole depuis 3500 ans. La démocratie, quant à elle, n’est rien de plus que le régime de l’humanisme dirigé par des hommes et des femmes qui usurpent les autorités créées par Dieu comme nous l’avons vu et qui font croire au peuple qu’il a encore un quelconque pouvoir de décision quand depuis longtemps les technocrates de l’ombre en ont confisqué les rouages. Le Royaume de Dieu c’est la justice, la paix et la joie par le Saint Esprit (Romains 14/17) qui ne peut s’exprimer que par l’amour de Dieu manifesté par le Saint Esprit lorsque la Parole devient notre inspiration. Or ce n’est pas le Saint Esprit de Dieu qui anime la majorité des hommes mais l’esprit du monde, l’esprit de Babel (de Babylone), l’esprit du mal dont le but est dérober, égorger et détruire (Jean 10/10) avec toute l’autorité que l’humanité lui laisse encore avoir sur elle alors que Jésus l’a vaincu à la croix ! L’avenir de la nation réside dans votre choix à privilégier les valeurs chrétiennes afin que Dieu visite à nouveau notre pays.
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