D'aucuns pourront s'étonner de trouver ici un discours qualifié de dérive scientifique tant la Science, de par sa nature intrinsèque, semble irréprochable et, effectivement, dans son essence, elle l'est. Aussi voyons à quoi il est fait référence lorsqu'on évoque cette notion. Le mot science est d'abord employé en français comme un synonyme de connaissance puis de savoir théorique puis joint à l'habileté, de savoir-faire apporté par ce savoir théorique. Il s'emploie également pour désigner la connaissance de Dieu dans ce qu'elle exprime de plus parfait, de plus profond tel qu'on peut le retrouver dans la Bible où, bien sûr, le mot science étant récent, il est remplacé par le mot connaissance avec en filigrane la notion d'intelligence et surtout de sagesse. Mais cette définition ancienne encore véhiculée par quelques expressions (la science de quelque chose, du bien et du mal, etc.) ne correspond plus à l'utilisation que nous avons de ce mot depuis le XVIIIe siècle où il prend la définition d'une connaissance exacte, universelle et vérifiable au travers de lois tout en conservant, dans certains cas, son sens plus large de connaissance précise autant que spécialisée, générant une certaine confusion en rapport avec le niveau de confiance que l'on donne à la dite science. C'est ainsi qu'en référence à la première définition, on parle par exemple des sciences physiques, des sciences mathématiques, des sciences naturelles alors que la seconde définition embrasse les sciences humaines, les sciences économiques, les sciences politiques et même, les sciences occultes. Or, aucune d'entre elles ne saurait se prévaloir de la première définition car seules les premières reposent sur des lois fondées sur l'observation et le calcul.
Depuis des millénaires, et disons au moins depuis le deuxième chapitre de la Genèse, l'homme qui possède la connaissance en quelque domaine que ce soit, s'est toujours considéré avoir un avantage sur ses semblables au point que certains se sont rapidement cru suffisamment supérieurs pour les dominer. Il est sans doute bon de rappeler ici que l'objet de la désobéissance d'Adam et Eve n'était autre qu'un arbre symbolique appelé dans la Bible l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Ainsi, universellement, celui qui sait, le sachant, transpire parfois cette haute estime de lui-même qui lui fait oublier la relativité de son savoir. Je franchis allègrement la ligne rouge que le politiquement correct veut que nous respections comme si elle était moralement respectable en affirmant que la science souffre du même syndrome d'autosuffisance qui ne cesse d'alimenter un humanisme de plus en plus arrogant. En effet, l'humanisme, cette religion qui prétend que l'homme maîtrisera tout par son raisonnement et sa connaissance n'est que le fruit des découvertes de ce qui existe déjà. Par d'autres mots, la science n'est que l'accumulation des observations physiques de notre univers et la découverte des lois qui le régissent, l'intelligence ne se contentant que de synthétiser, comparer, recombiner, calculer, débattre, bref de prendre conscience de ce qui existe depuis Genèse 1/1 : «Au commencement Dieu ...»
L'homme découvre les lois universelles de la physique, les lois biologiques, les lois de la chimie, sans forcément avoir tout compris, ni même tout savoir, mais n'en invente aucune. L'homme manipule le vivant mais est incapable de créer une seule cellule de toute pièce y compris à partir des éléments pourtant déjà très élaborés qui la composent alors, à partir des molécules n'en parlons pas ! Une simple cellule animale ou végétale capable de s'auto dupliquer est infiniment plus complexe qu'une carte de circuit électronique. En revanche, à peu près tout ce que l'homme invente ou crée et qui n'existe pas à l'état naturel ne produit que des pollutions et des déchets destructeurs de vie. Or tout ce que Dieu a créé participe à des chaînes de recyclage automatique sans déchet que l'homme est incapable de concevoir et que sa cupidité court-termiste empêche seulement d'envisager. Tout ce dont une certaine humanité est si fière dans le progrès technologique n'est autre qu'une bombe à retardement à plusieurs niveaux de destruction dont de nombreux effets ont déjà commencé sous nos yeux : empoisonnements chimiques (plastiques, pesticides, médicaments, aliments, etc.), manipulations génétiques (créations de nouvelles maladies, OGM, vaccins correcteurs du génome, etc.) ou contrôle total des individus. Le progrès technologique est bien sûr souhaitable quand il nous facilite la vie, pas quand il nous rend esclave d'un système créateur de besoins inutiles qui détruisent notre environnement, nos sociétés et notre santé pour nourrir nos convoitises et le rejet de Dieu. Ne soyez pas aveuglé et trompé : si vous regardiez au-delà de l'apparence des bienfaits relatifs que semble générer cette connaissance, le but inavoué de l'esprit qui l'anime n'a rien à voir avec le fait de nous rendre la vie meilleure mais par illusion et tromperie il vise la destruction de tout ce que Dieu à créé, à commencer par l'humanité elle-même si fière de se prendre pour Dieu.
Les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient comme à l'œil depuis la création du monde quand on les considère dans ses ouvrages. (Romains 1/20)
Car la création a été soumise à la vanité, non de son gré mais à cause de celui qui' l'y a soumise (Adam) avec l'espérance qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption … or nous savons que jusqu'à ce jour, la création soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. (Romains 8/19 et 22)
Le diable lui montra (à Jésus) en un instant tous les royaumes de la terre et lui dit : je te donnerai toute cette puissance et la gloire des ces royaumes car elle m'a été donnée (par Adam) et je la donne à qui je veux. (Luc 4/5-6)
La science ne connait pas l'humilité puisqu'elle est devenue son propre dieu. Je ne parle pas ici de la connaissance dans son absolu mais de la science qui, juste par le raisonnement et la suggestion, a ce pouvoir de manipuler l'intelligence des ignorants de ces disciplines qui, directement, traitent ou pas de la vie, afin de les détourner de la Vérité de Dieu puisque, cette science-là, possède la vérité qui se peut prétendument être démontrée. De fait, depuis le siècle des lumières, cet esprit "scientifique" a conquis quasiment toutes les strates de la société au point que le simple fait de le dénoncer révèle une sous-intelligence car, pour un scientifique, cette science a toujours raison.
Au cours des siècles, nombreux sont les exemples où ceux qui brandissaient leur science comme un argument indiscutable à grands renforts de faux raisonnements, de projections hypothétiques et de démonstrations fallacieuses étaient contredits quelques années plus tard par les nouvelles découvertes. Pourtant, leur vie durant, ils étaient considérés comme les autorités de leur temps, influençant ou ruinant la vie de milliers de personnes au gré de leurs dogmes déclarés de scientifiques. Aujourd'hui on rit des prescriptions des médecins des siècles passés qui tuaient au moins autant de malades qu'ils n'en soignaient, on rit encore de ceux qui affirmaient que la terre était plate (bien que certains le croient encore alors que la Bible nous dit qu'elle est ronde) ou qu'elle était au centre de l'univers, avec le soleil lui tournant autour et bien d'autres exemples de cosmogonies farfelues qu'il serait fastidieux d'en faire l'inventaire. Malgré une telle expérience, la communauté scientifique a du mal à avouer la relativité de ses connaissances, transpirant souvent l'arrogance du savant qui a toujours raison dans ses extrapolations, ses modélisations, ses théories. Car vous l'aurez compris, il ne s'agit pas de la connaissance en tant que faits vérifiables, le produit des découvertes du monde physique mais de leur utilisation afin de bâtir des philosophies humanistes qui n'ont d'autres buts que de détourner les gens de la Vérité de Dieu en les faisant passer pour scientifiques donc vraies. Or une théorie reste une théorie et une extrapolation ou une projection n'ont rien de reproductible et vérifiable, les seuls critères qui, par définition, leur permettraient de prétendre utiliser le qualificatif de scientifique.
Bien qu'une page de ce site soit consacrée à une nouvelle hégémonie sanitaire et avant de parler d'un exemple plus emblématique, voici le genre de dérives à laquelle on a assisté dans la pandémie du covid19. Le métier d'épidémiologiste est défini par : “L’épidémiologiste étudie les maladies à travers différentes données et les méthodes de statistiques. Grâce à des analyses statistiques et des outils spécialisés, l’épidémiologiste peut suivre l’évolution de certaines maladies et faire des simulations de propagation à plusieurs échelles (métropolitaine, régionale, nationale, internationale) (source L4m.fr).” Pourquoi je parle de dérive ? Parce qu'à longueur de journée on nous a vendu un pronostic quant à l'évolution supposée de la maladie fondé sur des modélisations statistiques forcément créées à partir de virus du même genre. Or on sait bien, quel que soit le domaine d'étude, ce que valent les statistiques en termes de précision, il suffit de regarder les modélisations des prévisions météo. On sait notamment qu'une seule donnée très inhabituelle peut contredire toutes une série statistique et aboutir à un résultat opposé. C'est ce qu'on appelle le cygne noir du fait que jusqu'à la découverte de l'Australie toutes les espèces de cygnes connues étaient blanches. On se sert d'un outil mathématique qui mesure et classe des données passées pour prédire l'avenir : cet outil à essence scientifique basé sur aucune certitude a permis de soumettre par la peur 67 millions de français à des règles qui n'avaient rien de scientifiques. Or la peur est l'outil humain le plus efficace pour contraindre les populations à une idéologie. Je ne remets pas en cause l'outil tant qu'on garde en tête sa relativité en matière d'exactitude mais plutôt l'interprétation qu'on en tire et qui elle sera toujours liée à la personnalité de celui qui la fait. C'est ainsi que, selon les études, les projections quant à l'augmentation de la température moyenne du globe en 2100 varient de 1 à 6 degrés supplémentaires et ce, malgré les mêmes données de calcul mais personne ne sera là pour dire qui avait raison ! Si vous aimez tant les théories basées sur les probabilités que pensez-vous de la probabilité pour que de l'explosion de l'atelier d'un peintre jaillisse un tableau de Renoir ? Pourtant vous croyez que la vie, autrement plus complexe avec toute sa diversité, est apparue à partir de la matière inerte à la suite d'une explosion !
Pour être complet, il manquait à l'humanisme une idéologie suffisamment crédible pour devenir universelle afin de prendre la place de la spiritualité qui s'exprime au travers des religions. Les observations et les ébauches de leur interprétation faites par Darwin ont conduit immédiatement à la théorisation de l'évolution des espèces (darwinisme) par divers "savants" agnostiques ou athées qui n'attendaient qu'une révélation de ce genre pour reléguer le récit biblique au rang du mythe. Le monde scientifique avait enfin trouvé sa religion ! La religion est ce parcours tortueux de l'homme qui cherche à apprivoiser Dieu ou à s'en débarrasser. Or il manquait au monde scientifique un dieu qui lui ressembla et auquel il pourrait s'identifier. Avant de poursuivre, il est bon de faire une mise au point sémantique : je parlerai ici de théorie du transformisme définie par une modification d'aspect si importante que cela conduit à l'apparition d'autre chose à la place de théorie de l'évolution qui exprime seulement une modification marginale qui se maintient sans produire une autre entité. Pour mieux comprendre, disons que l'évolution d'une espèce exprime juste sa variabilité génétique pour s'adapter au milieu alors que le transformisme prône l'apparition d'une ou plusieurs espèces nouvelles souvent si différentes qu'elles sont, de proche en proche, prétendument être à l'origine de groupes à complexité croissante (des poissons aux batraciens, aux reptiles, aux mammifères, etc). Ce qu'on veut nous vendre depuis plus de 160 ans c'est cette théorie dont l'absence de preuves scientifiques selon la définition de cette même science est dénoncée ici. Un développement argumenté lui sera consacré dans d'autres pages dès que possible. De nos jours, en disant croire que Dieu est le créateur de toute chose vous classe tout droit dans le tiroir des sous-développés intellectuels, broyés par le rouleau compresseur de la toute puissante académie de l'intelligence et de la science humaine. Pourtant, comme nous allons le voir, il faut beaucoup plus de foi pour croire que la vie et l'univers sont le fruit du hasard que de croire que Dieu en est l'auteur :
C'est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles. (Hébreux 11/3)
La Bible nous dit que le royaume de Dieu est pour ceux qui ressemblent à de petits enfants or elle s'adresse par révélation à notre esprit au moyen de l'intuition pour générer de la foi (de la confiance) et non pas à notre âme par la voie de l'intelligence qui a toujours besoin de comprendre pour croire. Un enfant a-t-il besoin de comprendre l'ordre de ses parents ou juste d'être dans la confiance ? Donc la Bible n'est pas un livre scientifique qui explique comment Dieu a fait les choses, disant même dans le livre d'Ecclésiaste “que l'homme ne peut pas trouver tout ce que Dieu a fait et que même si le sage (le savant) veut connaître, il ne peut pas trouver.” Elle ne nous donne donc aucun détail quant à la création car cela n'a aucun intérêt pour vivre la communion par la foi que Dieu recherche. Pourtant, compte-tenu de la connaissance à l'époque où Moïse écrit le premier chapitre de la Genèse, il est impossible pour un homme de trouver et de lister dans l'ordre les évènements de la création tels que la science les accepte aujourd'hui, toutes les cosmogonies de la même époque étant si fantaisistes. Cela démontre qu'une intelligence supérieure en est bien l'auteur car si on ne prend seulement que dix évènements majeurs de la création, il existe une chance sur 3 628 800 possibilités de les ranger dans l'ordre après les avoir découverts : c'est impossible. Un jour Newton reçoit un de ses confrères scientifiques et lui présente une maquette animée représentant le système solaire. Le visiteur s'émerveille devant une telle facture et demande à Newton qui avait réalisé cette maquette. Ce dernier lui répond personne. L'autre insiste pour savoir qui lui avait fabriqué cette maquette et Newton de répondre avec la même insistance que ce n'était personne. L'autre de lui dire alors que ce n'était pas possible et qu'elle avait forcément été construite par quelqu'un. Newton aurait répondu : “tu ne crois pas que cette maquette a été créée par personne et pourtant tu crois que le vrai système a été créé par hasard or comme tu ne veux pas me dire qui a fait le vrai système solaire, je ne te dirai pas qui a fait la maquette.”
Cet exemple montre que la théorie du transformisme n'est pas le début de l'opposition à Dieu par cette science de l'orgueil. Pas plus que la Bible qu'elle combat et contrairement à ses prétentions, elle n'a rien de scientifique puisque tout repose sur diverses affirmations qu'on nous demande de croire sans preuve et de postulats qui coupent court aux débats contradictoires, ce qui est contraire à la définition de cette science qui singe ainsi la foi à laquelle la Bible nous invite mais qui, elle, nous apporte au moins une espérance. On s'est habitué par négligence à accepter pour vrai tout ce qu'on nous dit dans ce domaine, y compris souvent au moyen de grandes supercheries et rares sont ceux qui osent dénoncer que ce ne sont que des théories, des projections, des hypothèses, que des faits ne peuvent corroborer. On nous demande juste d'y croire, de faire confiance aux fantasmes de savants perdus dont le seul projet est de qualifier la foi en Dieu d'obscurantisme au profit d'une foi basée sur le hasard. Si le profane se contente de ce que prétend le corps scientifique parce qu'il n'a pas la connaissance pour utiliser son esprit critique, il ne se doute pas un instant que sa paresse intellectuelle le conduit vers l'Enfer, aussi les scientifiques devraient avoir l'honnêteté de dire sur ce plan, “ne nous suivez pas, nous sommes perdus" ! Darwin lui-même a toujours douté de sa théorie comme il l'écrit dans son livre "Origine des espèces” :
“Selon cette théorie, d'innombrables formes transitoires doivent avoir existées. Pourquoi ne les trouvons-nous pas incrustées dans l'écorce terrestre ? Pourquoi la nature n'est-elle pas dans un état de confusion au lieu d'être, comme nous le voyons, constituée d'espèces bien définies ? Les recherches géologiques ne font pas état du très grand nombre de gradations entre les espèces présentes et celles d'autrefois, que nécessite cette théorie et ceci constitue l'objection la plus évidente parmi tant d'autres qui peuvent être trouvées contre elle.”
Il n'est pas simple de dénoncer les totems de la théorie du transformisme en quelques lignes. Ici, il s'agira juste de poser quelques arguments qui seront liés à un développe-ment futur. Julian Huxley, biologiste fondateur du WWF, directeur de l'UNESCO, partisan de l'eugénisme et dont le grand-père était ami de Darwin, proclama le jour de la célébration du centenaire de Darwin “aucun savant sérieux ne nierait que l'évolution est un fait” (Evolution after Darwin) ; par savant sérieux il entend alors tous ceux qui disent les faits m'importent peu, j'ai décidé de croire en cette théorie. Bien sûr, vu sous cet angle, vous pouvez avancer toutes sortes de faits contraires au transformisme, aux problèmes de datations ou aux impossibilités biologiques, vous n'avez aucune chance d'être écouté. Donc, lecteur au cerveau bien lavé par des décennies d'un discours pseudo-scientifique qui en apparence n'a aucune influence dans ta vie, croire en cette théorie sans preuve ou croire en la Bible devrait avoir la même valeur pourtant tu choisis de croire en cette science-fiction.
On nous dit qu'il y a environ 14,5 milliards d'années une explosion appelée Big bang donna naissance à la matière qui forma l'univers. On est déjà en droit de se demander soit qu'y avait-il avant çà, soit, après la découverte d'Albert Einstein et sa fameuse équation E=mc2 , d'où vient l'incroyable énergie qui permit la création de cette matière ? Seule la Bible donne une réponse pourtant facile à croire en Genèse 1/3 : “Dieu dit que la lumière soit.” Bon, mais là ce n'est qu'une entrée en matière … sans jeu de mots ! Mais comment en est-on arrivé au chiffre de 14,5 milliards d'années ? Tout simplement en posant comme postulat que l'univers ne peut pas rester statique puis en mesurant aujourd'hui son expansion que l'on suppose avoir été toujours plus ou moins constante. Cela fait quand même pas mal de suppositions. C'est exactement le même principe concernant la mesure de la dérive des continents où on extrapole les observations actuelles à l'ensemble du phénomène. Ainsi on a relevé que l'Europe et l'Amérique s'éloignaient d'environ 2,5 cm par an, or comme de nos jours environ 5000 km les séparent on en a déduit qu'ils se sont séparés il y a 200 millions d'années. Et voilà une affirmation bien scientifique qu'on vous demande de croire les yeux fermés pour vous habituer à d'autres affirmations plus invraisemblables.
C'est ainsi que les «savants» les plus imaginatifs sont capables de vous élaborer un arbre généalogique précis de n'importe quelle forme de vie sur la base d'une découverte de fossiles. Ah, les fossiles, c'est fascinant tout ce qu'on peut faire dire, à un seul os, une seule feuille ou un fragment de quoi que ce soit et l'histoire que l'on peut raconter de sa vie quand on est parfois incapable de savoir ce que mange une espèce bien vivante ! Or, dans la bibliothèque des fossiles tous et je répète, tous, sont des espèces abouties entre lesquelles il n'existe aucune forme transitoire. D'ailleurs comment pourrait-il en être autrement ? Comment vivrait un individu avec un organe en cours de transformation, et ce pendant des millions d'années, au gré des supposées mutations ? Ah, oui j'avais omis de vous rappeler que cette théorie n'est plausible que si le temps est obligatoirement très très long en dépit de la grande stabilité du code génétique, de sa complexité dans la moindre chaîne biologique ou de la deuxième loi thermodynamique qui fait que dans tout système isolé (l'univers est isolé) l'énergie tend à se disperser rendant le système irréversiblement uniforme, y compris lorsque les observations sont faites sur la diversité biologique : on constate toujours des pertes de biodiversité et jamais de créations. Pour simplifier cela signifie que la terre et sa diversité mais aussi l'univers entier sont programmés pour arriver à un état d'équilibre de l'énergie et donc de la matière. C'est exactement ce qu'enseigne la Bible disant que Dieu lui-même soutient l'univers par sa parole et que tout est voué à s'user et non pas à de développer :
… par lequel il a aussi créé le monde et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante … (Hébreux 1/3)
Tu as anciennement fondé la terre et les cieux sont l'ouvrage de tes mains (le St Esprit). Ils périront mais tu subsisteras, ils s'useront tous comme un vêtement, tu les changeras comme un habit et ils seront changés mais toi tu restes le même et tes années ne finiront point. (Psaumes 102/26-28)
Le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront point. (Luc 21/33)
Ils veulent ignorer, en effet, que les cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu … tandis que par la même parole, les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. (2 Pierre 3/5-7)
Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre car le premier ciel et la première terre avaient disparu et la mer n'était plus. (Apocalypse 21/1)
Avec la radioactivité la science s'est dotée d'un système de datation des roches et des fossiles pour lesquelles les différentes méthodes ne donnent jamais le même résultat. Ce n'est pas grave, il suffit de passer au raisonnement circulaire de datation : un fossile date la roche et la roche date le fossile au gré des exhumations ! Lorsqu'un fossile est trouvé dans une roche plus ancienne que celle où il est censé être, on l'ignore et surtout on l'occulte comme toutes les anomalies de datation : dans les années 1960, un nouveau volcan islandais apparu et fut daté de 65 millions d'années, curieux non ? Je suis certes persuadé que la terre est probablement plus vieille que les simples déductions bibliques le prétendent car la Bible elle-même fait référence à des évènements antérieurs à Genèse 1/1 dont notamment :
Lorsqu'il posa les fondements de la terre j'étais à l'œuvre auprès de lui … jouant sans cesse en sa présence, jouant sur le globe de sa terre … (Proverbes 8/29-30)
Mais je suis aussi certain que la vie ne doit rien au hasard car elle est beaucoup trop complexe pour lui. Donc l'âge de la terre et de l'univers a peu d'importance dans l'absolu à partir du moment où rien ne peut exister du vide. Seul l'orgueil explique une telle croyance ! Notez au passage, comme dis plus haut, que la Bible nous révèle que la terre est un de globe !
Bon, maintenant qu'on a établi qu'on avait finalement tout le temps il ne restait plus qu'à s'orienter vers les mutations pour expliquer que les êtres vivants se transforment en autre chose de toujours plus complexe, de plus "évolué" sous la pression d'une supposition nouvelle en remplacement d'une autre supposition devenue insoutenable avec la découverte du code génétique, celle de la transmission des acquis et que d'ailleurs on aurait bien du mal à expliquer chez les végétaux. Je veux parler de la très fameuse sélection naturelle qui éliminerait les moins adaptés, les moins performants. D'accord mais pourquoi des espèces, voire des groupes entiers prétendument à l'origine de ceux qu'on considère comme le résultat de leur évolution, existent toujours inchangés après plusieurs millions d'années ? L'exemple du cælacanthe est emblématique, lui qu'on supposait éteint depuis 65 millions d'années et dont on nous expliquait qu'il était un intermédiaire dans la transformation de ses nageoires en pattes. Et que dire du Ginkgo ou du pin Wollémie découverts bien vivants et conformes aux fossiles datés de millions d'années ? Je tairai ici les supercheries nombreuses qui ont servi à établir une fausse évolution des singes vers l'homme, réservant une page à l'inventaire de toute ces tromperies faites au nom de cette science de la honte et de l'idéologie qui, par son aversion de la Bible a permis de construire la nouvelle société où la loi de la jungle est la conséquence directe de la théorie du transformisme, l'autre n'étant plus créé à l'image de Dieu donc précieux mais à l'image de la bête, de l'animal dont il est issu, donc négligeable. Pourquoi vous étonnez-vous de la violence, de la dégradation de la morale, de l'incivisme, de la compétition pour les ressources alors que vous enseignez la loi du plus fort et la disparition des faibles ? Si vous vous prétendez chrétien, vous ne pouvez pas croire à la théorie du transformisme et vous devriez avoir foi en ce que Dieu dit. Comme je l'ai déjà dit dans maintes pages de ce site, mon objectif est juste de vous avertir, pas de vous convaincre. Si votre cœur est endurci, ce n'est pas contre ce que j'écris mais contre Dieu que vous choisissez de rejeter de votre plein gré pour satisfaire l'orgueil de votre intelligence. Or Jésus nous dit que celui qui renie la parole de Dieu, cette même parole le reniera devant Dieu. Lecteur, oublie cette idéologie humaniste issue des philosophies grecques dites objectives pour t'approcher de Dieu et pratique le verset suivant :
O Timothée, garde le dépôt, en évitant les discours vains et profanes et les disputes de la fausse science dont font profession quelques uns. (1 Timothée 6/20)
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