Il n'est pas question de répertorier ici toutes les anomalies, incohérences ou autres formes d'amateurisme en matière de communication et de décisions pendant la pandémie de la covid 19 en France mais de dénoncer les mensonges et les dissimulations volontaires, de s'inter­roger sur une nouvelle forme d'autoritarisme sanitaire et enfin de voir quelle devrait être l'attitude du chrétien dans cette ges­tion. En premier lieu on est quand même en droit de se demander si l'origine de ce coronavirus est naturelle ou pas ? Si elle était naturelle, on ne l'aurait prétendument pas vu surgir d'un pangolin, espèce consommée depuis toujours en Afrique, dans le marché d'une ville chinoise à deux pas d'un grand centre où curieusement on fait des manipulations sur les virus. Donc il existe une très forte probabilité que cette pandémie soit d'origine humaine, que la majorité des experts le sait et que l'on a fait taire ceux qui le disaient.

Ceci explique pourquoi les médias ont rapidement écarté des plateaux l'avis des spécialistes qui n'allaient pas dans le sens du courant politique, peut-être parce qu'ils auraient dénoncé des conflits d'intérêt. On y voit toutes sortes de médecins y compris ceux dont la spécialité est franchement très éloignée de la virologie juste pour appu­yer la propagande en faveur du catastrophisme. En quoi un généraliste, un urgentiste, un urologue, un réanimateur, etc. et outre la connaissance de base de tout médecin, mérite-t-il le titre d'expert en virologie ? Est-ce à dire qu'un cancérologue ou un psychologue a le droit de se considé­rer virologue du jour au lendemain ou que finalement tout le monde se considérer virologue ou infectiologue du moment qu'il a les bases de la biologie ? En quoi leur avis sur la gestion de la pandémie a plus d'importance que celui de quiconque surtout lorsqu'il s'agit plus de politique et de gestion de crise que de biologie ? On y voit toutes sortes de médecins et de dirigeants peut-être en manque de reconnaissance professionnelle, à la recherche de la notoriété, des gens qui se donnent une certaine impor­tance comme s'ils étaient des génies de la science, eux qui retourneront aussi vite dans l'anonymat, des sortes de mercenaires de la pensée dominante du moment qui ne serait peut-être pas là si ce n'était pas intéressé.

La Science étant par définition la connaissance comment un scientifique qui dit ne pas savoir peut-il être pris pour un expert ? Pourquoi une telle hégémonie sani­taire pour un si faible pourcentage de malades et surtout de morts s'il n'y avait pas une corruption généralisée dans le domaine de la santé ? Où sont passés tous les vrais experts qui avaient une autre voix quant aux mesures à mettre en place ? Pourquoi a-t-on interdit tous les débats scientifiques ? Or la science est un débat permanent car sans débat, elle n'est rien de plus qu'une religion (à lire à la page "La dérive scientifique"). Pourquoi les médias d'inves­tigations comme le Canard enchaîné ou Médiapart par exemple, toujours prompts à épingler leurs ennemis politiques n'ont-ils rien à investiguer dans ce domaine ? Si la parole est bâillonnée n'est-ce justement pas le signe qu'il y a quelque chose à cacher ? Ici je ne fais pas seule­ment référence à nos dirigeants politiques mais à ceux qui les instrumentalisent et qui tôt ou tard seront démasqués car un mensonge fini toujours par éclater. Et que dire du ministre de la santé, un médecin qui a passé plus de temps en politique qu'en consultations ? D'ailleurs, pourquoi depuis nombre de gouvernements, un médecin ministre de la santé est-il coutumier ? Si telle doit être la coutume, pourquoi le ministre de l'agriculture n'est pas un agriculteur, le minis­tre de l'économie un Prix Nobel d'économie ou celui des affaires étrangères, un naturalisé ? Si au moins il était brillant et modeste ! Pourquoi à l'arsenal gouvernemental et administratif de la santé la Présidence fait appel à une société américaine spécialisée dans le conseil aux indus­tries pharmaceutiques pour améliorer leurs performances commerciales ?

 

La pandémie des mensonges

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Se référer aux autres pays pour se justifier de la gestion de la crise en France est symptomatique de la mondialisation des objectifs et des directives. La France n'était-elle pas une nation capable d'indépendance en matière d'intelli­gence, de créativité et d'innovations pour toujours copier ce qui se fait ailleurs et notamment les mauvaises idées ? En effet, partout, c'est quand même la première fois dans l'histoire qu'une pandémie est basée sur la détection des cas et non pas sur les gens malades avec utilisation d'un test à 45 cycles au lieu des 25 préconisés pour gonfler les chiffres. C'est quand même une première mondiale de confiner des personnes en bonne santé et d'interdire aux médecins de traiter les malades par des médicaments reconnus efficaces dans d'autres pathologies notamment ceux utilisés protéger les poumons des formes graves. En fait nombre d'études publiées dans la littérature ne sont pas dignes de confiance car elles sont publiées par et pour que les industriels augmentent leurs profits et quand elles vont à contresens, elles sont discréditées. Qui étudie les publications scientifiques pour vérifier la probité et l'ab­sence de conflits d'intérêt, où est la censure ? En France c'est une première mondiale que d'avoir verrouillé le débat politique par deux ans d'état d'urgence et d'avoir intimidé toutes les oppositions. Pourtant si chaque individu voulait simplement regarder l'objectivité des vrais chiffres il se rendrait compte de la manipulation intellectuelle qu'on lui demande d'accepter pour vraie et qui participe à une opi­nion publique endormie et apeurée par ce matraquage médiatique. Presque tous les jours, des journalistes indi-gnés rappellent à ceux qui osent relativiser l'impact de cette maladie, le nombre de morts avec des remarques désobligeantes qui font de vous un irresponsable et un égoïste. Que d'instrumentalisation à partir de chiffres faux. Tout le monde connait désormais quelqu'un de soi-disant mort de la covid alors qu'il est mort d'autre chose ou seulement pour qui la covid a été la maladie de trop. Pourquoi le chiffre réel des personnes en bonne santé, sans comorbidités, décédées de la covid est-il secret ?

Bref que penser d'une maladie qui, selon les chif­fres officiels largement gonflés, génère une mortalité de 137 morts pour 100 000 habitants au plus fort de l'épi­démie entre mars 2020 et mars 2021, environ 0,3 à 0,5% morts par rapport à la population totale ? La gestion de la pandémie n'a été en fait que la gestion des places de réanimation dans les hôpitaux publics au mépris de tout le reste, sans quasiment de passerelles avec les cliniques et hôpitaux privés. Avec un aplomb caractéristique, nos élites politiques ont donc mis sur le peuple le fardeau de leur mauvais choix de gestion depuis 40 ans. Mais pourquoi ? Parce que gérer une crise sanitaire coûte moins cher, même quoi qu'il en coûte, que d'investir dans des structu­res publiques. La construction ou les extensions d'hôpi­taux, de prisons, d'universités, de logements sociaux, etc. participent à l'augmentation du déficit structurel (mauvais déficit) alors qu'emprunter pendant une crise est considé­ré comme du déficit conjoncturel (bon déficit) plus facile à justifier et à défendre sur le plan électoral. Or désormais, il semblerait que les crises se succèdent environ tous les dix ans, au rythme des changements de pouvoirs de nos pays capitalistes. Même avec la solution vaccinale, la courbe de l'épidémie sera finalement conforme au modèle de la courbe théorique comme l'ont déjà prédit les vrais spécia­listes et ce virus suivra le même chemin que celui de la grippe espagnole : que sont devenues les mutations très contagieuses du virus originel H1N1 de cette pandémie ? Apparemment évanouies depuis 1919 au profit de muta­tions moins graves, juste responsables de diverses formes de grippes. Arrêtez d'être hypnotisés par une intelligentsia scientifique corrompue et libérez-vous de son idéologie.

Une fois encore nous entendons à longueur de débats médiatiques des "spécialistes" affirmer que la science ne connait rien du comportement de ce virus dans le temps pour justifier des mesures inappropriées. Ceci est en fait un exemple de la dissimulation de la vérité. Depuis toujours les hommes on établi des classifications du vivant en regroupant les "espèces" en fonction de leurs caracté­ristiques afin de mieux les appréhender et cette spécialité s'appelle la taxinomie. C'est ainsi qu'aujourd'hui, tout spécialiste sait très bien à quoi s'attendre quant aux comportements d'une espèce appartenant à un groupe taxinomique précis, un genre ou une famille par exemple. Donc, quand un botaniste découvre une nouvelle espèce et qu'il la classe dans un genre donné, disons le genre Eucalyptus, il connait par ce simple classement, déjà tous les caractères communs aux eucalyptus, y compris sa biologie et ses comportements. Pourquoi en serait-il autrement des virus ? On sait déjà quelles seront ses caractéristiques en comparaison du reste du vivant puis on fur et à mesure qu'on affine sa classification au moins jusqu'au genre, ici Coronavirus, on peut supposer que s'il a été classé dans ce genre c'est qu'il en a les comportements généraux dont notamment une courbe épidémique décroissante liée à l'apparition successive de variants issus non pas d'une intelligence du virus qui se comporterait comme un stratège pour nous embêter mais issus des recombinaisons de sa propre variabilité génétique lors de sa multiplication, comme tout être vivant.

Si, par la vaccination, le risque de mortalité baisse fortement le sophisme utilisé pour déclarer que la majorité des gens sont favorables au passe-sanitaire puisqu'ils se font vacciner,est insupportable. Pour beaucoup, hélas, c'est juste pour ne pas perdre leur emploi ou accéder à tout ce qui est interdit sans. Avec le gouvernement, cer­tains médecins et responsables politiques ou médiatiques forts de leur position intouchable, n'hésitent plus à pro­poser des sanctions et des contraintes croissantes pour obliger les gens à la vaccination et ce avec un ton si agressif qu il en révèle la méchanceté et la perversité de leur cœur prêt à tout pour soumettre par le chantage et la violence des personnes qui ne peuvent se défendre. Honte à vous car vous n'aimez pas les gens et la santé n'est pas votre vraie motivation. Vous êtes des tortionnaires déguisés sous des motifs de santé publique et vos œuvres sont abjectes, vous n'aurez aucune excuse devant Dieu :

Les hommes livrés au mal ne comprennent pas ce qui est juste mais ceux qui cherchent l’Éternel comprennent tout. (Proverbes 28/5)

Combien de personnes sont mortes de solitude, de déses­poir ou d'autres causes psychiques juste pour satisfaire votre obsession à enrayer une épidémie au service de la chimie ? Devant Dieu vous êtes des manipulateurs crimi­nels que ça vous plaise ou non. Que de sophismes quand cette vaccination est comparée aux vaccinations obliga­toires pour aller dans un pays étranger comme la fièvre jaune qui, elle, est mortelle quasiment dans un cas sur deux sans compter que tout le monde ne se rend pas souvent dans un pays à risque ! Et puis, autre première mondiale, faire porter sur les non-vaccinés la culpabilité de contaminer les autres, les qualifiant d'irresponsables, de sous-citoyens, d'égoïstes avec le slogan de se faire vacciner pour protéger les autres. Mais depuis quand se fait-on vacciner pour protéger les autres en se prévalant de la fraternité républicaine en réponse à ceux qui avancent la perte de liberté ?

La liberté et l'égalité correspondent à des droits mais la fraternité est l'expression de l'amour liée à la notion de famille selon la Bible. L'amour ne se décrète pas et partager des convictions ce n'est pas de l'amour. Sont frères ceux qui ont le même père or un régime politique ne peut pas être votre père car il n'aime pas et n'engendre rien : il propose et gère des idées. Ainsi, aucune loi se référant de la fraternité ne peut être au-dessus des lois qui garantissent vos droits en matière de liberté et d'égalité. D'ailleurs existe-t-il des lois qui ont pour essence la frater­nité ? Dieu est parfait et la république ne l'est pas. Elle est incarnée par des hommes corrompus, au sens biblique, qui ne sont pas au service d'un peuple qu'ils aiment mais au service d'une idéologie qui s'octroie tous les pouvoirs pour arriver à ses fins et assouvir une ambition. Hypocrites, vous avancez la fraternité pour culpabiliser le non-vacciné mais vous la bafouez dans les actes du quotidien en méprisant la peur générée par votre violence et en plus vous voulez la faire taire. Votre conception de la famille n'a rien de frater­nelle, elle n'est que cynisme ! Depuis quand injecte-t-on une toxine pour la répandre dans tout le corps et appeler ça un vaccin ? On peut quand même s'interroger puisque on ne peut pas dire que les laboratoires soient un modèle de philanthropie. C'est criminel de vacciner tous les âges d'une population en pleine épidémie et notamment les enfants. Dieu vous demandera des comptes pour vos injustices et je vous conseille de le prendre très au sérieux car vos tourments éternels dureront plus longtemps que votre pouvoir terrestre. Réfléchissez et changez de voie.

Car Dieu amènera toute œuvre en jugement au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal. (Ecclésiaste 12/16)

Ne sont-ce pas les riches qui vous oppriment et qui vous trainent devant les tribunaux ? … le jugement est sans miséricorde pour celui qui n'a pas fait miséricorde. (Jacques 2/6 et 13)

Pour la grippe, depuis des années, jamais un tel argument ne fut utilisé malgré le décès d'au moins 8000 personnes par an et il n'y a jamais eu d'obligation vaccinale. Cet argu­ment serait relevant si la vaccination empêchait totale-ment la contagion aussi je me demande pourquoi on en fait autant pour vendre le vaccin et ne rien faire avec les autres leviers de lutte. Pourquoi veut-on à tout prix obliger tout le monde et que se cache-t-il derrière cette volonté ? Pourquoi, depuis des décennies, les politiques de santé n'affichent pas la même détermination contre les indus­triels de l'agro-alimentaire et de la chimie, qui savent si bien s'entendre et qui sont donc les vrais responsables des comorbidités dues à la mal-bouffe (obésité, diabète, aller­gies, etc.) donc, responsables de la majorité des morts de la covid. Eux ne sont responsables de rien mais le non vacciné est coupable de ne pas vouloir cautionner cette mascarade sanitaire. Si vous croyiez encore que l’État se soucie de votre santé, vous n'avez pas fini de déchanter avec ce qui va arriver dans l'avenir. Les vraies raisons éclateront un jour et je le répète, ce n'est qu'un test d'acceptabilité des populations en prévision d'une prochaine étape en rapport avec les prophéties bibliques, patience, elles arrivent ! Il est bon de faire remarquer ici l'étymologie du mot santé dont sa signification ne se réduit pas aux problèmes du corps physique mais aussi à l'esprit de la personne, particu­lièrement en référence à la raison et au bon sens. Il ne faut pas être un génie de la médecine pour savoir que les effets de la peur, de l'angoisse, de l'anxiété et du stress sur le psychisme sont les armes de la manipulation en ce qu'elles affaiblissent les défenses immunitaires du corps par soma­tisation. C'est exactement ce qu'on a voulu produire afin de promouvoir ici, la solution miracle du vaccin, là, une dépendance à la chimie, au lieu de laisser les organismes s'immuniser plus rapidement et avec une bien meilleure efficacité grâce à leurs anticorps NATURELS. On a volontai­rement étouffé la raison et le bon sens dans le seul but d'asservir les populations pour les préparer à la suite !

 

Et les chrétiens dans tout ça ?

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Que sert-il à quelqu'un de dire qui a la foi s'il n'a pas les œuvres (les résultats). Il en est ainsi de la foi : si elle n'a pas les œuvres, elle est morte en elle-même." (Jacques 2/14 et 17)

Les vrais chrétiens sont ceux qui vivent par la foi contraire­ment à ceux qui se disent chrétiens parce qu'ils croient en Dieu et c'est justement ce que l'apôtre Jacques dit dans un verset suivant ; "tu crois qu'il y a un seul Dieu, tu fais bien, les démons le croient aussi et ils tremblent." Les vrais chrétiens ont revêtu les armes de Dieu qui les protègent parce qu'ils font confiance en Dieu qui veille sur sa Parole pour l'accomplir. Or Éphésiens 6/14-17, par analogie avec l'équipement du soldat romain, nous dit notamment "Tenez ferme, ayez à vos rein la ceinture de la vérité, revêtez la cuirasse de la justice, … prenez par-dessus-tout le bouclier de la foi, …" Le vrai chrétien vit donc par la Parole de Dieu et dans le cas présent, de même qu'il ferme la porte de sa maison à clé pour éviter le voleur, il n'y a aucun problème s'il doit être vacciné par obligation. En revanche il n'est pas normal qu'un vrai chrétien soit dans la peur de la maladie ni même dans la crainte d'être contami­né tant Dieu a de promesses sur ce plan. La crainte et la peur sont opposées à la foi, génèrent de la violence et sont la caractéristique de l'homme sans Dieu ! En Job 3/25-26 la Bible nous dit "Ce que je crains c'est ce qui m'arrive, ce que je redou­te c'est ce qui m'atteint. Je n'ai ni tranquillité, ni paix, ni repos et le trouble s'est em­paré de moi." Ne soyez pas comme les incroyants, effrayés par la maladie et la mort parce qu'ils ne s'appuient que sur la médecine et ne con­naissent pas les promesses de Dieu. Comment un chrétien, peut croire en l'indifférence de Dieu quant à sa santé, lui qui a donné son fils unique pour prouver à l'humanité son amour et ses plans à l'égard de quiconque veut lui faire confiance ? Ne savez-vous pas que le nombre de vos jours est dans les mains de Dieu et que plusieurs versets nous enseignent que Dieu peut en rajouter ou en retrancher selon votre marche par l'Esprit, dans la foi ?

Il a porté nos souffrances, il s'est chargé de nos douleurs et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. (Ésaïe 53/4-5)

Avec la paix, le sacrifice de Jésus qui nous procure la guéri­son lorsque nous sommes victime d'une maladie est une promesse de Dieu pour quiconque y applique sa confiance et l'anxiété est un des symptômes de la peur or la peur est l'arme de Satan et elle est particulièrement contagieuse. Il est une autre promesse est tout aussi extraordinaire, celle que Dieu est avant tout capable de nous protéger de la maladie et c'est de loin plus intéressant car la maladie est une malédiction (lisez le chapitre 28 du Deutéronome) :

Mon Dieu en qui je me confie ! Car c'est lui qui te délivre de la peste et de ses ravages. … Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole de jour, ni la peste qui marche dans les ténèbres, ni la contagion qui frappe en plein midi. Que mille tombent à ton côté et dix mille à ta droite, tu ne seras pas atteint : de tes yeux seulement tu regarderas et tu verras la rétribution des méchants (Psaumes 91/3 et 5-8)

Les païens n'ont pas la capacité de croire ce dont la Bible parle puisque c'est une folie pour eux mais pour la vérita­ble église il est temps de se réveiller et de résister car nous savons que tout ce qui arrive est en rapport avec le verset "Satan est animé d'une grande colère sachant qu'il a peu de temps." Cette pandémie n'a pour but que de faire taire l'Eglise. Beaucoup d'églises locales qui ne sont pas ancrées dans la Parole de Dieu disparaîtront afin qu'il ne reste que celles qui combattent par la foi dans le monde spirituel :

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