L'apogée dans la mystification doctrinale

AVERTISSEMENT : le terme "islamisme" fait référence ici à sa définition étymologique originelle de 1697 telle qu'elle est rapportée dans le dictionnaire historique de la langue française, à savoir "religion musulmane". Elle ne se limite donc pas à la sémantique actuelle qui distingue entre l'Islam pour définir la religion musulmane et l'islamisme pour définir la doctri­ne politique qui tente d'imposer la loi et les règles de cette même religion musulmane par la force et le terrorisme.

Il s'agit dans cette page, comme pour tous les thèmes de cet onglet, d'interpeler le lecteur quant à son adhésion à des pratiques religieuses qui émanent de doctrines purement humaines tout simplement parce qu'elles n'ont aucune cohérence avec le plan initial de Dieu auquel elles se targuent de faire référence. C'est ce que nous allons voir ici. D'ores et déjà ce qui ressort de l'Islam, d'une part dans sa relation avec le dieu qu'il invoque, c'est l'arbitraire et la peur à la place de la confiance et de l'amour puis, d'autre part, dans sa relation aux non musul­mans, via son projet politique, c'est une intolérance agressive à toute critique par une référence identitaire exacerbée, absente dans les autres religions qui pourtant, dans leur doctrine, auraient, elles aussi, diverses raisons à vouloir instaurer une théocratie à la place des lois humai­nes. Seul cet Islam militant, agressif et barabare empoi­sonne nos sociétés dans le monde entier car il s'accroit par la peur et la contrainte dont la source est la domination à tout prix quand le vrai christianisme s'accroit par le témoi­gnage et l'exemplarité dont la source est la puissance de l'Amour. Or dénoncer cette doctrine serait offenser le musulman comme si ce que je crois est la seule compo­sante de qui je suis ! Par d'autres mots, je n'existe pas uniquement par ce à quoi je crois puisque ce que je crois est le résultat d'un enseignement volontaire ou subi alors que la foi est le choix d'une relation d'amour et non pas une croyance. L'Islam est la seule doctrine religieuse au monde qui veut imposer sa vision par la contrainte et qui donne à l'Occident des leçons de tolérance : l’islam exige des mosquées en Europe mais essayez d’ouvrir une église dans un pays islamique ! Je vous rappelle que l'objectif est de vous amener à réfléchir sur votre religion par une argu­mentation basée sur vos propres croyances afin d'en révé­ler les incohérences. Donc s'interroger ou pas quant à la Vérité de Dieu vous appartient et peut changer le reste de votre vie ! Que vous le fassiez ou pas ne change rien pour nous, disciples du Christ, mais par contre si votre zèle était au service du Dieu de la Bible, tout changerait pour vous et vos pays sortiraient de ce fatalisme féodal !

La doctrine coranique prétend être la continuité de la révélation de Dieu faite à Abraham et à Moïse. Or, si on compare l'homogénéité de la Bible avec le Coran on ne peut pas croire qu'il s'agisse du même dieu sauf à le pren­dre pour un lunatique c'est-à-dire à le réduire à notre condition d'homme ! C'est très facile de remplacer Dieu par des idées, des philosophies, des doctrines et donc c'est très facile de remplacer la Parole de Dieu par une autre parole car les hommes sont par nature crédules face à la séduction, face à ce qu'ils ont envie d'entendre ! La Bible se compose de 66 livres écrits sur une période de 1500 ans par des dizaines de rédacteurs inspirés de Dieu qui, de Genèse à Apocalypse, ne parlent que d'une seule chose : la réconciliation de Dieu avec l'humanité au travers du sacri­fice de Jésus. A l'inverse, le Coran, écrit par un seul auteur six siècles après que Jésus ait pourtant dit sur la croix "Tout est accompli", a connu des versions différentes selon les clans et la seule qui reste est la plus belliqueuse avec pour point d'orgue de tuer tout musulman qui se convertit au christianisme ; rien que cela en dit long sur l'état d’esprit de cette religion ! Tout ce qui est écrit dans la Bible se succède et s'accomplit au fur et à mesure des prophéties souvent révélées des siècles auparavant car Dieu avertit toujours de ce qu'il va faire : J'annonce dès le commencement ce qui doit arriver et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli. Ésaïe 46/10.

 

1. La naissance et la mort de Jésus sont annoncées


Ainsi la première venue de Jésus a été annoncée bien des siècles auparavant et il y a 2000 ans, sa seconde venue l'est aussi dans les Actes des Apôtres (1/11). En revanche aucune prophétie concernant la venue de Mahomet sur terre parce qu'il n'est pas du tout dans le plan de Dieu.

 
► Sept cents ans avant la naissance de Jésus, le prophète Michée nous révèle la ville où il naîtra : “Et toi Bethléem Ephrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi celui qui règnera sur Israël (l'Israël spirituel) et dont l'origine remonte aux temps anciens, aux jours d'éternité.”
► Dans Ésaïe 7/14 on apprend qu'il viendra au monde par une vierge : “C'est pourquoi, le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici une vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d'Emmanuel.” (ce qui signifie Dieu avec nous)
► Zacharie 9/9 prédit son entrée dans Jérusalem en tant que sauveur de l'humanité : “Voici ton roi vient à toi, il est juste et sauveur, il est humble et monté sur un âne.
► Le chapitre 53 d'Ésaïe nous décrit le plan de salut de Dieu par les souffrances et la mort horrible de Jésus, comme un agneau pourtant sans tache (sans péché) : “Il a été maltraité et opprimé et il n'a point ouvert la bouche semblable à agneau qu'on mène à la boucherie, a une brebis muette devant ceux qui la tondent." (verset 7). "Cependant il a porté nos souffrances, il s'est chargé de nos douleurs et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu et humilié mais il était blessé pour nos péché, brisé pour nos iniquités.” (verset 4).
► Même David a prophétisé avec détails les conditions de sa mort près de 1000 ans avant qu'elle n'arrive alors que la crucifixion, un supplice romain, n'existait pas : “Ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os. Eux ils ils observent, ils me regardent, ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique”. Psaumes 22/17-19.

 

2. L'islamisme, des rites contraires à ce que Dieu veut


Par sa représentation simpliste et déformée de Dieu, cette doctrine est, sur le plan spirituel, une régression de plusieurs millénaires. Elle est fondée sur des lois archaïques calquées sur la loi de Moïse tout en ayant retiré l'esprit de cette loi à savoir la relation d'amour. N'oubliez pas que le mot islam traduit le mot français assujettissement, soumission ! Ses représentations de l'au-delà sont empreintes des convoitises de la chair : celui qui atteint le "Paradis" est servi par de très jolies femmes, a droit à des mets exceptionnels et écoute de la musique. D'ailleurs comme nous l'avons dit dans la page sur les religions, il suffit toujours de regarder la place de la femme dans une doctrine pour en connaître son origine humaine car l'esprit n'a pas de sexe !

Dans l'Islam la femme ne compte pas, elle est réprouvée et la polygamie est la règle alors que la loi de Moïse puis Jésus l'interdisaient : “L'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à SA femme et il deviendront une seule chair” (Genèse 2/24). L'apôtre Paul nous dit qu'en tant qu'être spirituel : “Il n'y a plus ni juif, ni grec (païen), il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme.” (Galates 3/28). Dieu aurait-il changé d'avis alors qu'il nous dit, plus de 1000 ans avant Mahomet : “Car je ne change pas, je suis l'Éternel.” (Malachie 3/6) ? Comment comprendre les femmes qui adhèrent à une religion où leur vie terrestre et l'avenir éternel que l'islam leur promet est d'être l'esclave de l'homme ? Si ce n'était pas la volonté de Dieu durant les 2000 ans de la révélation biblique pourquoi ça le serait subitement parce qu'un homme le prétend alors qu'aucune prophétie ne confirme sa légiti­mité comme nous l'avons vu ? Pour être sûr que sa volonté soit bien comprise Dieu la répète dans plusieurs versets qui se recoupent. Dieu n'est pas une girouette, il ne change pas d'avis tous les matins ! De nos jours, l'Islam et la doctrine de Mahomet n'est absolument pas à l'origine de la libération des femmes dans certains pays musulmans mais c'est la rencontre avec le monde occidental dans sa référence à la Bible qui les libère, sinon elles seraient toutes voilées et dévouées seulement aux taches de servantes de l'homme ! Regardez leur place dans les dictatures islamiques comme l'Afghanistan, l'Arabie Saoudite ou l'Iran. Regardez le degré de répression juste pour la tenue vestimentaire, pour la liberté dans la vie quotidienne : la femme est une esclave !

Jésus a combattu toute sa vie les religieux de son époque, notamment à cause de leurs rites purement humains : donc de la même manière, croyez-vous que 600 ans plus tard, ce même Dieu, qui recherche la communion avec l'homme dès le commencement, d'esprit à esprit, lui de­manderait de réciter les mêmes prières rituelles cinq fois par jour, de répéter comme un perroquet une prétendue "phrase sacrée" et d'accomplir des œuvres pour même pas assurer le croyant d'être sauvé de l'Enfer ? En quoi ces rites changent-ils la vie de celui qui les pratique ? En aparté ce que nous prenons pour un rite islamique dans le fait de se tourner vers La Mecque pour prier n'est qu'une pâle singerie dépourvue de sa substance spirituelle qui avait été instaurée par le roi Salomon lors de la dédicace du temple à l'occasion d'une puissante prière universelle rapportée en 2 Chroniques 6/20-41, aux versets 34 et 35 :

Quand ton peuple sortira pour combattre ses ennemis en suivant la voie que tu lui auras prescrite; s'ils t'adressent des prières les regards tournés vers cette ville que tu as choisie et vers la maison que j'ai bâtie à ton nom, exauce des cieux leurs prières et leurs supplications et fais-leur droit !

Le Dieu de la Bible est bon, compatissant, amoureux des hommes, lent à la colère, prêt à nous guérir, nous délivrer de ce qui nous domine alors que le dieu du Coran est le dieu de l'arbitraire qui ne laisse à l'homme aucune liberté, n'a aucun amour et encore moins de compassion ou de pitié. De plus, le salut est loin d'être acquis et il ne sert à rien d'accomplir scrupuleusement les cinq obliga­tions car c'est la volonté tyrannique d'Allah qui aura le dernier mot d'où le fatalisme induit de cette religion : tout ce qui arrive c'est Allah qui le veut ! Cela étouffe ou au mieux limite la responsabilité de l'homme, l'entraînant à l'indolence et au fatalisme. On est très loin de cette com­munion voulue par le Dieu d'Abraham et de Moïse et de la responsabilisation de nos actes.

 

3. La volonté de Dieu n'est jamais révélée par des anges


Dans tous les livres de la Bible les anges sont des messa­gers qui, très ponctuellement apportent une information de la part de Dieu et très rarement depuis la venue de Jésus puisque le Saint Esprit joue ce rôle dans l'esprit des chrétiens passés par la nouvelle naissance. Mahomet prétend avoir reçu la doctrine coranique de la part de l'archange Gabriel, le chef des anges messagers. Or, dans la Bible, Gabriel qui est donc un ange supérieur en autorité, n'intervient que trois fois dans des cas bien précis :
 
► pour apporter au prophète Daniel et seulement sur ordre de Dieu l'explication de la vision qu'il avait reçue (Daniel 8/17).
► pour annoncer à Zacharie la naissance d'un fils, Jean Baptiste, le dernier prophète de l'ancienne alliance, missionné pour préparer et annoncer la première venue du Messie, soit un message vraiment exceptionnel.
► pour annoncer à Marie qu'elle a été choisie pour mettre au monde le Messie ; Dieu n'aurait pas envoyé un ange quelconque mais le plus élevé dans cette hiérarchie parce que le message était le plus merveilleux jamais annoncé.

Dieu a révélé la loi par Moïse et a toujours utilisé des prophètes pour parler en son nom car Dieu est esprit et communique d'abord dans l'esprit. Jamais Dieu n'a utilisé les anges pour communiquer ses plans et sa volonté aux hommes parce que les anges sont des serviteurs inférieurs aux hommes puisque eux seuls sont créés à l'image et la ressemblance de Dieu (Genèse 1/27) et que Dieu appelle tout homme à être des fils (Jean 1/12) précieux à ses yeux.

 

4. Ismaël est le fils d'une esclave


L'Islam prétend qu'Abraham a sacrifié Ismaël et non pas Isaac tel que la Bible le raconte. Pourtant, tous les écrits bibliques confirment bien que la postérité de Dieu en Abraham est par Isaac, les manuscrits dits de la Mer Morte l'attestent. Dieu se présente à Moïse en disant : “je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob … j'ai vu la souffrance de mon peuple en Egypte.” (Exode 6-7). Si Isaac n'avait pas été le choix de Dieu alors la mission de Moïse n'a aucun sens car ce ne sont pas les descendants d'Ismaël qui furent esclaves en Egypte. Mais il est un argu­ment beaucoup plus intéressant dans les explications que fournit Paul aux Galates sur ce sujet car au-delà de cette jalousie historique qui existe dès la naissance d'Isaac et qui continue aujourd'hui, il y a une portée hautement spiri­tuelle qui ne laisse aucun doute quant à la volonté de Dieu.

Car il est écrit qu'Abraham eut deux fils, un de la femme esclave, et un de la femme libre. Mais celui de l'esclave naquit selon la chair, et celui de la femme libre naquit en vertu de la promesse. Ces choses sont allégoriques; car ces femmes sont deux alliances. L'une du mont Sinaï, enfan­tant pour la servitude, c'est Agar, - car Agar, c'est le mont Sinaï en Arabie - et elle correspond à la Jérusalem terres­tre, qui est dans la servitude avec ses enfants. Mais la Jérusalem céleste est libre, c'est notre mère car il est écrit (Esaie 54/1) : Réjouis-toi, stérile, toi qui n'enfantes point ! Éclate et pousse des cris, toi qui n'as pas éprouvé les dou­leurs de l'enfantement ! Car les enfants de la délaissée seront plus nombreux que les enfants de celle qui était mariée. Pour vous, frères, comme Isaac, vous êtes enfants de la promesse et de même qu'alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l'Esprit, ainsi en est-il encore maintenant. Mais que dit l’Écriture ? Chasse l'esclave et son fils, car le fils de l'esclave n'héritera pas avec le fils de la femme libre. C'est pourquoi, frères, nous ne sommes pas enfants de l'esclave, mais de la femme libre.” (Galates 4/22-31)

D'une manière générale et comme vous pouvez le lire dans la page concernant le catholicisme, il est intéressant de constater que le diable, l'inventeur des religions, connait si bien l'humanité qu'il propose à chaque peuple ce qu'il est fondamentalement prêt à accepter et donc à croire. La révélation que reçoit Mahomet dans le désert est une parodie de la révélation de Dieu faite à Moïse à Horeb afin de la rendre acceptable aux descendants d'Ismaël qui peu­plaient l'Arabie. Or, à cette époque, et bien que le christia­nisme fut prêché dans tout le monde méditerranéen, les arabes polythéistes se sentent à l'écart dans un pays ruiné et certains d'entre eux recherchent ardemment une révé­lation qui leur ressemble. Or nombreux sont les mouve­ments sectaires qui enseignent des contre-vérités  quant à la personne de Jésus comme les Ébionites qui ont proba­blement influencé Mahomet pour rédiger "cette pseudo-révélation" que les arabes recherchaient en jalousant Israël, voulant une révélation propre. Pour les peuples de cultures latines et récemment christianisés c'est une autre stratégie pour détourner les croyants de la Parole de Dieu : l'apparition prétendue de la vierge, l'instauration hautement symbolique d'un intermédiaire humain devenu divinité et rapidement qualifiée de "mère de Dieu", rien que ça ! Notez que la vierge n'apparait pas chez les peuples sémites ou plus récemment anglo-saxons mais principalement dans les pays latins ou ceux fortement catholiques (Pologne).

 

5. Différences entre Jésus et Mahomet


Pour conclure cette argumentation, le point d'orgue se trouve dans la différence entre la vie terrestre de Jésus et celle de Mahomet. Par exemple Jésus a dit :

Celui qui me voit, voit le Père” (Jean 14/9)
“Avant qu'Abraham fut, je suis.” (Jean 8/58)
Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort” (Jean 11/25)
Voici, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde” Matthieu 28/25)
Je suis le chemin, la Vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi” (Jean 14/6)
 

Mahomet n'a jamais pu dire pareilles assertions. Alors soit les déclarations royales et majestueuses de Jésus dans lesquelles il se met en avant sont prétentieuses et blasphé­matoires soit elles sont justifiées. Or nous avons vu que toutes les prophéties concernant Jésus prouvent qu'il est digne de foi et sont donc vraies. Sa vie terrestre confirme son enseignement car il est resté pur et sans péché si bien qu'il a apostrophé les Pharisiens en leur disant : “Qui de vous me convaincra de péché. Celui qui est de Dieu écoute les paroles de Dieu, vous n'écoutez pas parce que vous n'êtes pas de Dieu.” (Jean 8/46-47).

Toute sa vie Jésus “allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l'empire du diable car Dieu était avec lui.” (Actes 10/38) et a porté la démons­tration de l'amour de Dieu en renonçant à sa vie pour mourir à notre place sur la croix. A l'inverse Mahomet a été un brigand, a fait la guerre toute sa vie, comparable à tout homme qui tente d'installer sa dynastie par la force, a eu onze femmes et quatre concubines, polygamie préten­dument autorisée par l'ange Gabriel, encore une fois comme si Dieu envoyait un ange pour annoncer et justifier une chose aussi terrestre que ça ! Enfin Mahomet est défi­nitivement mort de maladie comme un homme ordinaire alors que Jésus est ressuscité, agi encore partout dans le monde par les milliers de miracles et guérisons et est sur le point de revenir, toutes les prophéties qui l'annoncent étant en train de s'accomplir sous nos yeux aujourd'hui.

Malgré cette argumentation, si en tant que musulman vous croyez encore que le Coran vient de Dieu, cela vous regarde : un chrétien n'est pas sur terre pour convaincre mais pour témoigner de la Vérité et accomplir les mêmes bonnes œuvres que son maître, pas pour faire du prosély­tisme religieux par la contrainte comme l’Islam. Vous ne pourrez pas dire devant Dieu que vous ne saviez pas lors­que s'accomplira ce que dit l'Ecclésiaste : "Dieu amènera toute œuvre en jugement au sujet de tout ce qui est caché soit bien, soit mal." et l'apôtre Jean (1 Jean 4/1-3 et 6) de nous éclairer 600 ans avant Mahomet sur qui est dans la Vérité ou pas, prouvant bien que Dieu répète inlassable­ment sa Parole pour que nous ne soyons pas trompé :

Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. Reconnaissez à ceci l'Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus-Christ venu en chair est de Dieu et tout esprit qui ne confesse pas Jésus n'est pas de Dieu, c'est celui de l'antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui maintenant est déjà dans le monde. … celui qui connaît Dieu nous écoute mais celui qui n'est pas de Dieu ne nous écoute pas : c'est par là que nous connaissons l'esprit de la vérité et l'esprit de l'erreur.

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