Insécurité : voici un mot à la mode au XXI^e siècle, objet de tous les débats et d'affrontements politiques dans les médias comme si c'était un fait nouveau dans les sociétés humaines. L'état de sécurité est défini par une tranquillité, une paix, une confiance, à la fois dans tous les domaines physiques et matériels d'une personne y compris dans son psychisme, cette personne vivant alors dans cette absence de soucis qui ne lui procurent aucune crainte. Le sentiment de sécurité ou d'insécurité est basé sur les faits et interactions qui entourent la personne dans son quoti­dien, sur la complexité de l'organisation de la société et du niveau autoritaire des règles qui régissent ladite société. Par exemple, une loi quelconque dont la légitimité est contestable ou une injustice flagrante renforcera le senti­ment d'insécurité au même titre qu'une incivilité ou que la peur de ne pas savoir remplir un papier administratif ou que la soumission à des contrôles permanents et variés justement et paradoxalement … au nom de la sécurité. Quant à l'adjectif sécuritaire, son réemploi est très récent (années 1980) et fait référence à ce qui tend à privilégier les problèmes de sécurité. C'est bien dans ce sens qu'il est utilisé ici, puisque l'aspect sécuritaire de nos sociétés "modernes" est volontairement exacerbé afin de nous amener à faire nôtre une idée qui conduira l'humanité à une soumission totale, quitte à manipuler l'opinion publi­que pour lui laisser croire que cette idée vient d'elle. Dans cette page pardonnez si d'avance une erreur sur un fait ou une donnée se glisse car mon propos ne vise pas l'instant car tout le monde se trompe mais le mauvais esprit et la mauvaise foi de ce qui se cachent derrière l'autorité.

Comment soumettre un peuple à une idée ou une pratique que la conscience individuelle n'accepterait pas sinon à la rendre acceptable pour des raisons collectives ? Mais pour qu'une banale insécurité du quotidien qui, sur le plan statistique ne concerne qu'une minorité d'individus, devienne collective il faut la rendre universelle à travers les médias par la répétition de faits soigneusement choisis, fussent-ils statistiquement anecdotiques, bref par la pro­pagande. Par exemple, les médias nous informent d'un attentat meurtrier (ou pas), d'une prise d'otages, d'un déséquilibré dangereux en commentant et débattant en boucle plusieurs jours consécutifs avec une foule d'experts ce qui jadis, n'aurait été rien de plus qu'un fait divers dans un quotidien local. Du reste quand un tel évènement ne se produit pas dans la région ou le pays, selon l'échelle géographique du média, il suffit d'aller en chercher un plus loin, souvent à l'autre bout du monde ! Mais en quoi un fait divers même grave qui s'est déroulé localement ou … en Chine intéresse la France entière ? Pourquoi ne nous parle-t-on pas plutôt et dans les mêmes proportions de tout ce que des milliers de gens font bien et de toutes les bonnes idées qui naissent dans la cervelle de ceux qui se passionnent pour les autres et le bien public ? Décliner à longueur de journée ici un vol de voiture ou de portable, là une cité gangrénée par des dealers ou encore une file d'attente à la banque alimentaire, participent à l'augmen­tation de l'anxiété et de la peur sur l'ensemble du territoire donc y compris là où cela a très peu de chance de se passer. Vous pensez que les vols, le détroussage des gens, les escroqueries en tout genre et même les meurtres sont l'apanage de notre société ? Combien de quartier dans certaines villes ont été référencés comme coupe-gorges parfois depuis le Moyen-âge ? Lorsqu'une chaine de télévision locale se croit obligée de reprendre certains faits divers nationaux, faut-il en croire que rien de local ne mérite l'intérêt de la chaine pour rapprocher les habitants plutôt que de les éloigner par de la méfiance ? Si on parlait davantage des initiatives d'entraide au quotidien, l'atmos­phère sociale y gagnerait.

Je peux certes me tromper mais au regard du message biblique, je suis persuadé que le discours sécuri­taire actuel n'a qu'un seul objectif, celui de nous faire accepter, au nom du bien collectif, que seul un contrôle total des individus pourra enrayer les actes d'incivilité et d'insécurité tout simplement en traçant 24 h sur 24 h chacun d'entre nous. Comment ? Simplement par la tech­nologie numérique qui n'existait pas dans le passé. Tout ce que les hommes voient comme un progrès aujourd'hui lorsqu'on prend chaque technique indépendamment des autres (internet, portable, vidéosurveillance, domotique, etc.) deviendra l'outil de contrôle idéal associées les unes aux autres et ce, avec l'adhésion de la population puisque l'argument sera pour leur sécurité. En effet, quoi de plus naturel que d'installer des caméras de surveillance cou­plées un fichier de reconnaissance faciale à peu près partout dans une ville pour dissuader les malfaisants ? Cela semblera à beaucoup une bonne solution pour réduire la délinquance et le citoyen lambda approuvera parce qu'il dira n'avoir rien à se reprocher. Or si cela s'arrêtait là on pourrait le croire mais après, quelle sera l'étape suivante et qui aura accès aux images ? Sous prétexte de lutter contre le travail illégal ou de diminuer les trafics et les vols, plus de monnaie physique, tout sera numérique et plus personne ne pourra vendre quoi que ce soit y compris des services car les paiements entre particuliers ne seront pas possibles sous prétexte d'éviter la fraude fiscale. Beaucoup de personnes dont notamment les jeunes perçoivent le "sans-contact", tellement pratique comme un progrès mais serez-vous aussi enthousiaste par la suite quand on contrô­lera vos achats ? J'ose espérer que certains mettront en place un système parallèle ou le retour du troc au moins pour un temps sinon la vie sera invivable.

Pourquoi n'applique-t-on pas le désormais fameux "quoi qu'il en coûte" à la construction de cadres de vie agréables pour les plus précaires et à la destruction des cités où personne n'a envie de vivre, à la lutte contre la précarité croissante, contre les marchands de sommeil ? On l'appliquerait à l'éducation, à l'accès à une meilleure alimentation, bref à tout ce qui peut contribuer à l'amélio­ration de la vie au lieu de toujours céder devant les injonc­tions et les chantages des lobbies de l'industrie et de la chimie, au lieu de toujours plus de contrôles qui ne font qu'attiser la haine et augmenter les fractures sociales ? Qui nous dit si nos dirigeants ne laissent pas les situations se dégrader à dessein ? Si ce n'était pas le cas depuis 40 ans, ils donneraient plus de moyens aux policiers, à la justice, aux systèmes de soins, aux services sociaux, etc. car qui peut croire qu'il soit impossible aujourd'hui de faire ce qu'on faisait auparavant ? Je crois plutôt que désormais, la plupart des nations, endettées jusqu'au cou, sont aux ordres des grands financiers de la planète dont le but est de réduire la population du monde par le bas en avilissant les plus faibles. Je ne crois pas du tout que nos dettes soient accordées sur la garantie de notre seul patrimoine mais sur la soumission aux idées du nouvel ordre mondial qui se met lentement mais surement en place et la France est surement un très bon élève grâce à l'influence qu'elle a dans le monde. Pourquoi rien n'est transparent et qui détient réellement la dette de la France ? Certains médias toujours prompts à épingler ceux qui ne leur plaisent pas brillent par leur silence sur la politique de l'occulte, les relations des puissants entre eux, les intérêts opaques.

Ils épient comme l'oiseleur qui dresse des pièges, ils tendent des filets et prennent des hommes. Comme une cage est remplie d'oiseaux leurs maisons sont remplies de fraude, c'est ainsi qu'ils deviennent puissants et riches. … Ils dépassent, toute mesure dans le mal, ils ne défendent pas la cause, la cause de l'orphelin et ils prospèrent, ils ne font pas droit aux indigents. Ne châtierais-je pas ces choses-là dit l'Eternel, ne me vengerais-je pas d'une pareille nation ? (Jérémie 5/26-29)

Le riche domine sur les pauvres et celui qui emprunte est esclave de celui qui prête. (Proverbes 22/7)

Pourquoi ne pas simplement revenir à la base de notre société judéo-chrétienne en se rappelant l'esprit des dix commandements fruit de l'amour de Dieu pour nous ainsi que le respect de son prochain. La connaissance et la crainte (le respect) de la Parole de Dieu sont la solution à notre monde pourtant tout est fait pour rendre la Parole inau­dible prouvant ainsi de quel est esprit sont animés ceux qui opèrent dans l'ombre derrière toutes ces fausses bonnes idées de sécurité par l'asservissement ! Vous pensez sans doute que je délire me rangeant au banc des complotistes, mot récemment devenu à la mode mais qui apparemment a changé de sens car jusqu'à présent le complotiste n'était-il pas celui qui fomente un complot et non pas celui qui le dénonce. En d'autres circonstances on m'aurait plutôt qualifié de lanceur d'alerte au lieu d'illuminé. Après la mondialisation des échanges commerciaux, le monde de demain verra la mise en place la mondialisation d'un code numérique unique pour chaque habitant de la planète fusionné à une partie de l'anatomie (donc sans possibilité de l'enlever) avec absolument toutes les données vous concernant et mises à jour à vos dépends tout au long de votre vie. A tout moment on saura tout de vous y compris où vous avez passé la journée et avec qui, quel est l'état de votre compte en banque et ce que vous avez acheté grâce à toutes les données récoltées en temps réels par des datas centers mondiaux. Si ce n'est déjà fait, informez-vous sur ce qui se passe en Chine concernant la reconnaissance faciale, et l'application d'un QR code pour les minorités ou les opposants au régime notés mauvais citoyens parfois juste pour incivilité ! On saura tout sur votre état de santé et on vous obligera dans beaucoup de domaines de la vie pour ne pas être un poids financier à la collectivité. L'eugénisme sera la règle, on stérilisera des millions de personnes, les contestataires disparaitront et les vrais chrétiens seront persécutés en guise d'apothéose. Voilà le monde d'après ? C'est ce monde-là que vous voulez ?

… Mais avant tout cela, on mettra la main sur vous et l'on vous persécutera, on vous jettera en prison, on vous mènera devant des rois et devant des gouverneurs (des autorités) à cause de mon nom. … Vous serez livrés même par vos parents, par vos frères, par vos proches et vos amis et ils feront mourir plusieurs d'entre vous. Vous serez haïs de tous à cause de mon nom mais il ne se perdra pas un cheveu de votre tête et par votre persévérance, vous sauverez vos âmes. (Luc 21/12-19)

C'est justement pour qu'après ces persécutions la véritable église de Jésus-Christ ne subisse pas cette dictature diabo­lique inspirée par l'esprit de l'Antéchrist déjà présent dans le monde, qu'elle sera enlevée avant le retour en gloire du Christ comme nous le verrons par ailleurs :

… (la bête) fit que tous ceux qui n'adoraient pas l'image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front et que personne ne pût acheter ni vendre sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. (Apocalypse 13/15-18)